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BRÈVES

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Voire même celles au-delà en Europe, nous disent les organisateurs. De par leur poids respectif et leur rayonnement dans l’Union européenne, la France et l’Allemagne dialogueront sur les grands enjeux de santé et la discipline biologique à l’occasion de ces JIB 2014 - du 8 au 10 octobre, rappelez-vous ! Représentants de la biologie médicale et des autorités de santé françaises et allemandes seront réunis dans la cadre de deux sessions et d’ateliers de réflexion le 8 octobre, lors de la session inaugurale et de réunions plus pratiques. r L’organisation de la médecine de laboratoire allemande : société savante et association professionnelle; formation, qualification et éducation continue r L’organisation du remboursement : différentes stratégies de remboursement public et/ou privé ; la qualité comme critère de paiement à l’acte. r Pratiques médicales et biologie médicale en Allemagne : qui décide et comment ? r Table-ronde avec les intervenants allemands et français de la session : ce que s’envient les professionnels respectivement ? Le meilleur des deux systèmes pour un modèle idéal de biologie médicale.

À retenir aussi : la Société française de biologie clinique (SFBC) réunit ses Journées nationales à l’occasion des JIB. En cohérence avec la programmation générale, la SFBC, acteur majeur du Comité scientifique des JIB, proposera un grand nombre de sessions liées au thème des pathologies de l’appareil digestif, pour donner un éclairage complet (d’autres disent : focus) des modes de prises en charge des différents troubles de la sphère digestive. La traditionnelle session INSERM/SFBC, à visée prospective, s’intéressera au thème passionnant de l’épigénétique. Si cette discipline relève d’une recherche active, des applications médicales sont déjà en cours. Clin d’œil : au 27 mai (dernière consultation), la liste des exposants déjà inscrits pour 2014 était impressionnante (d’autres disent : conséquente). De A à W (qui sera le X ?) : 76… qui vous attendent. Dont Elsevier Masson, bien sûr ! On se voit aux JIB1 ? QQ J.-M. M. 1. www.jib-sdbio.fr

Traitement des apnées du sommeil du diabétique: coût/efficace Des équipes britanniques ont étudié l’évolution et le rapport coût/efficacité du traitement du syndrome des apnées obstructives du sommeil (SAOS) chez le diabétique de type 2 par recours au masque respiratoire à pression aérienne positive continue (CPAP), ceci à la demande du Service national de santé (NHS). L’étude montre notamment que la CPAP permet d’abaisser significativement la pression artérielle et de contrôler le diabète. L’étude cas-contrôle chez 150 diabétiques de type 2 avec SAOS équipés en CPAP et 150 diabétiques de type 2 avec SAOS mais non équipés a duré 5 ans, d’un point de vue médical et… financier. L’usage de la CPAP est associé à la baisse de la pression artérielle et de l’HbA1c (8,2 % vs 12,1 %) sur les 5 années consécutivement par rapport aux patients non équipés. La CPAP améliore également l’état de santé général en terme de quality-adjusted life years/QALY. Ce gain permet aussi celui en termes de coût pour le NHS ! © Rob Byro

Initiée sur les JIB 2013 dans le cadre du Cercle de la biologie médicale, cette grande opération a pour objectif de mettre en perspective deux modèles européens de biologie médicale. Entre antagonistes et convergences, l’observation de deux organisations de la biologie médicale, dite outre-Rhin médecine laboratoire (Laboratorium Medizin), intéresse au plus haut niveau les autorités de santé des deux pays…

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le Forum France-Allemagne

Source : Guest J, et coll., Diabetes Care on line, 4/4/2014 doi: 10.2337/dc13-2539.

Cannabis et risque cardiovasculaire Le Dr Émilie Jouanjus (Centre d’évaluation et d’information sur la pharmacodépendanceaddictovigilance [CEIP-A], Service de pharmacologie médicale et clinique, CHU, Faculté de médecine, Toulouse), et coll. rappellent que l’usage du cannabis est associé à des problèmes neuropsychiatriques mais qu’on connaît moins ses autres complications. À partir des cas rapportés au Réseau français d’addictovigilance ont été retenus les cas de complications cardiovasculaires dues au cannabis : 35 sur 1 979 (1,8 %), plus fréquents chez l’homme (85,7 %, âge moyen 34,3 ans). Bilan : 22 complications cardiaques (syndrome coronarien aigu), 10 périphériques (artériopathie des membres inférieurs, maladie de Buerger) et 3 cérébrales (angiopathie aiguë, amaurose fugace, spasme artériel). Le signalement croissant de ces complications et leur sévérité (létalité : 25,6 %) le confirme facteur de risque alors qu’il est considéré comme sans risque par la population. Ce risque doit être connu du public et des professionnels de santé. © RA Studio

JIB 2014 : un moment fort,

Source : J Am Heart Assoc. on line 23/4/2014, doi: 10.1161/JAHA.113.000638. [email protected] REVUE FRANCOPHONE DES LABORATOIRES - JUILLET/AOÛT 2014 – N°464 //

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Clinical outcomes and cost-effectiveness of continuous positive airway pressure to manage obstructive sleep apnea in patients with type 2 diabetes in the U.K.

To assess clinical outcomes and cost-effectiveness of using continuous positive airway pressure (CPAP) to manage obstructive sleep apnea (OSA) in pati...
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