Journal français d’ophtalmologie (2014) 37, 344
Disponible en ligne sur
ScienceDirect www.sciencedirect.com
IMAGE
Choriorétinopathie de Birdshot Birdshot chorioretinopathy N. Padrón-Pérez ∗, O. García-García Service d’ophtalmologie, Hospital Universitari de Bellvitge, Feixa Llarga s/n. L Hospitalet de Llobregat, 08907 Barcelona, Espagne Disponible sur Internet le 22 mars 2014
Figure 1. La choriorétinopathie de Birdshot est une uvéite postérieure bilatérale chronique rare qui s’accompagne des lésions choroïdiennes hypopigmentées. Les images (A—B) montrent des taches blanchâtres profondes asymétriques, dépigmentées (flèche noire) et d’œdème maculaire cystoïde chez une femme de 45 ans. On peut observer des engainements vasculaires (flèche jaune) avec télangiectasies (flèche rouge). L’autofluorescence (C—D) met en évidence des zones d’hypo-autofluorescence qui peuvent être plus grandes et diffuses sur les images d’autofluorescence (flèche blanche) qu’à l’examen fondoscopique ou sur la rétinographie.
Déclaration d’intérêts Les auteurs déclarent ne pas avoir de conflit d’intérêt en relation avec cet article.
∗
Auteur correspondant. Adresse e-mail : [email protected] (N. Padrón-Pérez).
0181-5512/$ — see front matter © 2014 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés. http://dx.doi.org/10.1016/j.jfo.2013.11.008
Disponible en ligne sur
ScienceDirect www.sciencedirect.com
IMAGE
Choriorétinopathie de Birdshot Birdshot chorioretinopathy N. Padrón-Pérez ∗, O. García-García Service d’ophtalmologie, Hospital Universitari de Bellvitge, Feixa Llarga s/n. L Hospitalet de Llobregat, 08907 Barcelona, Espagne Disponible sur Internet le 22 mars 2014
Figure 1. La choriorétinopathie de Birdshot est une uvéite postérieure bilatérale chronique rare qui s’accompagne des lésions choroïdiennes hypopigmentées. Les images (A—B) montrent des taches blanchâtres profondes asymétriques, dépigmentées (flèche noire) et d’œdème maculaire cystoïde chez une femme de 45 ans. On peut observer des engainements vasculaires (flèche jaune) avec télangiectasies (flèche rouge). L’autofluorescence (C—D) met en évidence des zones d’hypo-autofluorescence qui peuvent être plus grandes et diffuses sur les images d’autofluorescence (flèche blanche) qu’à l’examen fondoscopique ou sur la rétinographie.
Déclaration d’intérêts Les auteurs déclarent ne pas avoir de conflit d’intérêt en relation avec cet article.
∗
Auteur correspondant. Adresse e-mail : [email protected] (N. Padrón-Pérez).
0181-5512/$ — see front matter © 2014 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés. http://dx.doi.org/10.1016/j.jfo.2013.11.008
